Recrutement : secrétaires médicales

Le centre médical Marmottan (Fonction Publique Hospitalière) est spécialisé en addictologie. Il a été fondé par le professeur Olievenstein et est dirigé par le dr. Mario Blaise. La structure est rattachée au groupe de santé public de Perray Vaucluse.

Situé dans le 17eme arrondissement à Paris (métro Charles-de-Gaulle-Etoile), l’hôpital Marmottan recrute deux secrétaires médicales.

Poste à pourvoir : avril 2016

Horaires de travail : Temps plein, 36h par semaine.

Type de contrat : CDD convertible en CDI

Missions du poste :

Au sein d’une équipe pluridisciplinaire (médecins, infirmiers, psychologues, secrétaires, accueillants,…),  les secrétaires participent à l’accueil et sont en charge, en adéquation avec le travail clinique des autres membres de l’équipe, de l’accueil téléphonique, du classement des dossiers médicaux, de la saisie informatique, et gestion administrative.

Fiche de poste

Télécharger la fiche de poste de secrétaire médicale

Envoyez CV + LM à
Pierre Selleret, cadre socio-éducatif, par courrier : 17 rue d’armaillé, 75017 paris ou par email p.selleret@gpspv.fr

Joignable par téléphone au 01 45 74 00 04

 

 

Groupe de parole hépatite C

Affiche Groupe de Parole hépatiteLe centre médical Marmottan met en place un groupe de parole Hépatite C.
Celui-ci se déroulera les derniers vendredis de chaque mois, de 14 H à 16H .
Animé par 2 membres du personnel de Marmottan (médiatrice, infirmier ou accueillant)

Inscription par téléphone au 01 56 68 70 27 ou sur place

Recrutement : cadre supérieur(e)

Poste proposé

1 CADRE SUPERIEUR(E) – CENTRE MEDICAL MARMOTTAN

Contrat(s)

CDD;CDI;Détachement;Mutation

Descriptif
MISSION DU POSTE

Mission 1 : Il / Elle / Elle met en œuvre et évalue le projet de pôle en collaboration avec le médecin chef de pôle

  • Il / Elle / Elle contribue à l’élaboration du projet de pôle
  • Il / Elle propose une organisation des soins
  • Il / Elle propose une répartition de l’offre paramédicale de soins adaptée aux besoins de santé
  • Il / Elle coordonne et évalue les projets et les activités paramédicales
  • Il / Elle s’engage dans la mise en œuvre du contrat de pôle

 

Mission 2 : Il / Elle organise la cohérence du parcours de soins en coordination avec le chef de pôle

  • – Il / Elle analyse la parcours patient en lien avec les acteurs institutionnels et les partenaires du réseau de soins et médico-sociaux
  • -Il / Elle coordonne l’action des différents professionnels
  • -Il / Elle propose des évolutions organisationnelles de nature à fluidifier le parcours patient
  • -Il / Elle élabore une stratégie de communication entre les unités et favorise leur décloisonnement

 

Mission 3 : Il / Elle développe en lien avec la direction des ressources humaines et la direction des soins une politique de gestion des ressources humaines

  • Il / Elle assure le suivi des recrutements en lien avec la DS et la DRH
  • Il / Elle est responsable de l’évaluation des personnels paramédicaux et socio-éducatif du pôle
  • Il / Elle propose avec le chef de pôle une répartition des ressources humaines adaptée aux besoins
  • Il / Elle propose avec le chef de pôle un plan de formation en cohérence avec le projet de pôle

 

Mission 4 : Il / Elle anime et coordonne les activités des cadres soignants et socio-éducatifs

  • Il / Elle supervise une équipe de cadres de proximité (cadre de santé et socio-éducatif) et les assiste dans la gestion des équipes
  • Il / Elle évalue le cadre de santé et le cadre socio-éducatif sur la base d’objectifs individuels professionnels
  • Il / Elle propose un plan de formation prenant en compte l’organisation et l’évolution de la place des cadres dans la gouvernance du pôle
  • Il / Elle définit une politique managériale du pôle
  • Il / Elle organise avec le chef de pôle un processus de concertation et d’aide à la décision avec l’encadrement et les médecins responsables de structures internes

 

Mission 5 : Il / Elle participe en lien avec la direction qualité/risque, la direction des soins et le chef de pôle à la conception et la mise en œuvre de la politique qualité et gestion des risques liés aux soins

  • Il / Elle s’assure de la déclinaison des objectifs qualité/risque du projet médico-socio-soignant au sein des pôles
  • Il / Elle participe aux procédures de certification et d’évaluation de l’établissement
  • Il / Elle accompagne les chefs de pôle dans la mise en œuvre de la politique qualité gestion des risques déclinée dans le contrat de pôle
  • Il / Elle s’assure de l’harmonisation des procédures et de leur mise en œuvre dans les domaines de l’assurance qualité et de la sécurité (vigilance sanitaire, gestion des risques, règles des bonnes pratiques…) en lien avec l’Equipe Hospitalière d’Hygiène, la Cellule Qualité et la direction des soins
  • Il / Elle est garant de la qualité de l’accueil du patient et de son entourage

 

Mission 6 : Il / Elle participe avec le département d’information médicale à l’organisation du système de recueil des données

  • Il / Elle contribue au déploiement du dossier patient informatisé notamment dans ses volets soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques et socioéducatif
  • Il / Elle propose des indicateurs de suivi et de performance
  • Il / Elle est garant du recueil de l’activité paramédical et socioéducative et de la traçabilité de l’information

 

Mission 7 : Il / Elle est garant de la bonne gestion des moyens du pôle

  • Il / Elle assure le suivi et le contrôle de gestion budgétaire du pôle en lien avec les contrôleurs de gestion de l’établissement

 

Mission 8 : Il / Elle occupe une position stratégique en tant que responsable institutionnel et en qualité d’expert

  • Au sein du bureau de pôle en lien avec le chef de pôle et en articulation avec les binômes médecin responsable de structure/cadre de proximité
  • A un niveau institutionnel avec une participation
  1. . à certains comités de pilotage
  2. . Aux réunions hebdomadaires conduites par la direction des soins
  3. . Au Comité d’organisation et de coordination de l’établissement
  • Au niveau de la CHT en participant aux groupes de travail du projet médical de la CHT
  • Il / Elle s’engage dans la mise en œuvre des orientations du projet d’établissement, du projet médico socio soignant
  • Il / Elle assure des missions transversales spécifiques pour lesquelles il est mandaté

COMPETENCES REQUISES

Connaissances professionnelles :
• Connaître la politique de santé, notamment dans le domaine de la prévention et de la prise en charge des conduites addictives
• Connaître et maîtriser les différents fonctionnements institutionnels
• Maîtriser les textes législatifs, la réglementation
• Suivre l’évolution des professions liées aux soins et des nouveaux métiers
• Connaître les différents concepts de soins
• Connaître les principes de la démarche qualité et de la certification

Connaissances pratiques :
• Etre capable d’organiser, de déléguer et de superviser
• Etre capable d’animer et de dynamiser une équipe
• Etre capable d’élaborer, conduire et gérer les projets
• Etre capable d’initier ou de participer à des actions de recherche
• Etre capable de s’auto-évaluer et évaluer
• Etre capable d’analyser et de résoudre des problèmes
• Savoir représenter l’établissement, la spécificité de la psychiatrie, la politique de soins, le pôle et les promouvoir

PRE-REQUIS
Etre capable de travailler en collaboration

Etre capable d’analyser des situations :
• d’écouter, de conseiller, de reformuler
• De négocier, d’arbitrer,

Savoir faire preuve de respect, de disponibilité.
Savoir faire preuve d’autorité
Etre capable d’analyser les phénomènes de groupes
Expérience en psychiatrie ou addictologie

Personne à contacter
Lettre de motivation + CV à transmettre à M. Pascal ARDON, Directeur et Coordonnateur des soins à recrutement@gpspv.fr

Des avancées sur la RdR dans la Loi de santé

La loi de santé a été (enfin) promulguée cette semaine. Outre les articles sur le paquet neutre et l’assouplissement de loi Evin, vous pourrez lire en détails les articles concernant la RDR (articles 39 à 43). On y parle de TROD (Test de dépistage rapide sida / hépatite), d’obligation d’actions de Réduction des Risques dans les csapa, de reconnaissance des dispositifs AERLI (accompagnement à l’injection), d’expérimentation des Salles de consommation… Bref, pas mal d’avancées en matière de RDR !

http://www.assemblee-nationale.fr/14/ta/ta0650.asp

Prochains groupes de parole « entourage de joueurs de jeux vidéo »

Le prochain groupe de parole « entourage de joueurs de jeux vidéo » aura lieu le :

mercredi 3 février, à 17h

à l’hôpital Marmottan, 17 rue d’armaillé, 75017 Paris.

Toute personne concernée par l’utilisation problématique des jeux vidéo d’un de ses proches (enfant, conjoint, ami…) peut participer.

L’objectif est de partager et d’échanger ses expériences, d’obtenir des informations et du soutien, mais sans entrer dans l’individualité des prises en charge.

Ces réunions sont anonymes et gratuites.

Inscription auprès du secrétariat de Marmottan : 01 56 68 70 30.

[article] Quels facteurs de vulnérabilité au jeu excessif ?

CP publication scientifiqueCommuniqué – 7 octobre 2015

D’après Blaszczynski et Nower (Revue Addictions 97 :487-499, 2002), il existe trois types de joueurs pathologiques, identifiés selon un modèle « évolutif » :

  • les joueurs « conditionnés », ayant souvent connu des problèmes de jeux dans leur famille ;
  • les joueurs « vulnérables émotionnellement », qui se caractérisent par un comportement dépressif et anxieux ;
  • et les joueurs « antisociaux impulsifs », qui présentent en plus des comportements antisociaux et/ou impulsifs.

Afin de valider la pertinence de ces groupes, une étude portant sur 372 joueurs pathologiques (cohorte JEU de cas témoins suivis sur 5 ans) a été menée par des équipes du Centre Médical Marmottan – GPS Perray-Vaucluse, du CHU de Nantes, de l’Université Paris-Ouest Nanterre la Défense, de l’Hôpital Louis Mourier de Colombes (AP-HP), du CH Sainte-Anne et de l’Hôpital Universitaire Sainte-Marguerite de Marseille. Les joueurs pathologiques ont été classés en groupes correspondant à ceux pré-cités, et soumis à des entretiens cliniques structurés portant sur différents critères : habitudes de jeux, caractéristiques socio-démographiques, croyances et attitudes face au jeu, profil psychopathologique, troubles l’attention, etc.

Une classification de joueurs excessifs pertinente mais à explorer

Les résultats de cette étude tendent à montrer que les caractéristiques et les pratiques des trois groupes de joueurs varient. Si les résultats de l’étude semblent valider l’existence des groupes définis par Blaszczynski et Nower, il apparaît que les groupes de joueurs « vulnérables émotionnellement » et « antisociaux impulsifs » présentent des caractéristiques différentes. A l’opposé, le groupe des joueurs « conditionnés » se situe entre les deux autres et peut difficilement être isolé.

Des pratiques de jeux différentes, influencées par les voies d’entrée dans le jeu

Concernant les pratiques de jeux, on note ainsi que les joueurs « antisociaux impulsifs » préfèrent les jeux reposant en partie sur des compétences (jeux de courses, paris sportifs), tandis que les joueurs « vulnérables émotionnellement » sont significativement attirés par les jeux de hasard (bandit manchot, jeux de grattage). Les joueurs « conditionnés » se situent entre les deux autres groupes et pratiquent pour la moitié d’entre eux les jeux de hasard et pour l’autre moitié les jeux reposant en partie sur des compétences ou des jeux de stratégie.

Deux grandes fonctions psychologiques de l’addiction au jeu

Les auteurs de l’étude proposent une présentation dimensionnelle de cette classification, entre impulsivité et automédication. D’un côté, les joueurs impulsifs, dont le profil ressemble à celui des toxicomanes, préfèrent le poker et les paris sportifs ; de l’autre, des personnes déprimées, anxieuses, jouent dans une optique d’automédication et préfèrent les jeux de hasard purs. Le groupe des joueurs conditionnés serait simplement un groupe intermédiaire.

Cette classification se rapproche d’autres modèles définis dans le domaine des addictions, notamment à l’alcool. L’impulsivité, l’automédication et le conditionnement peuvent être des facteurs décisifs dans toutes les formes d’addiction, avec ou sans substance. D’autres études pourraient permettre d’explorer davantage cette interprétation « fonctionnelle » des voies d’entrée dans les addictions.

Retrouvez l’intégralité de la recherche dans l’article publié dans Journal of Gambling Studies (en anglais, accès payant) :

« Towards a Validation of the Three Pathways Model of Pathological Gambling »

 

Colloque « Jeux vidéo : des pratiques actuelles aux usages problématiques » 11 mars 2016, Paris

logodef2_blancJournée d’étude de la Guilde

Deuxième instance

Jeux vidéo : des pratiques actuelles aux usages problématiques

vendredi 11 mars 2016

Auditorium de l’Hôpital Européen Georges Pompidou

20 rue Leblanc, Paris 15ème

Programme

9h : Présentation de la Guilde

9h15 : La rétention des joueurs dans les jeux vidéo

Thibault Allart, mathématicien chez Ubisoft et Guillaume Levieux, maître de conférences au CNAM
Modération : Céline Bonnaire, psychologue, Csapa Pierre Nicole, Paris (75)

10h00 : Approche neurobiologique, l’effet des jeux vidéo sur le cerveau

Dr. Stéphane Mouchabac, psychiatre, Hôpital Saint-Antoine, Paris (75)
Modération : Dr. Mario Blaise, psychiatre, Centre Médical Marmottan, Paris (75)

10h45 : pause café

11h15 : La condition sociale des joueurs de jeux vidéo

Raphaël Koster, sociologue
Modération : Thomas Gaon, psychologue, Csapa Le Littoral, Villeneuve Saint Georges (94)

12h00-14h : déjeuner

14h00 : Panorama et cartographie des pratiques des jeux vidéo en France
(Enquêtes Ludespace et PELLEAS)

Dr. Olivier Phan, psychiatre, Pierre Nicole, Paris (75)
Manuel Boutet, Maître de conférences en sociologie, Université de Nice (06)
Samuel Coavoux, Doctorant en sociologie, ENS Lyon (69)
Modération : Pierre Taquet, psychologue, Csapa CH Carvin (62)

14h30 : Clinique du joueur de jeu vidéo (table ronde)

Céline Bonnaire, psychologue, Csapa Pierre Nicole, Paris (75)
Thomas Gaon, psychologue, Csapa Le Littoral, Villeneuve Saint Georges (94)
Lucia Romo, psychologue, CH Sainte Anne, Paris (75)
Elizabeth Rossé, psychologue, Centre Médical Marmottan, Paris (75)
Pierre Taquet, psychologue, Csapa CH Carvin (62)

16h30 : Synthèse de la journée

Dr. Marc Valleur, psychiatre, Centre Médical Marmottan, Paris (75)

Programme sous réserve de modifications

Inscription

Deux voies, selon que vous souhaitez ou non l’agrément DPC :

  1. Pré-inscription au tarif « normal » (formation continue, inscription individuelle, étudiant)

En ligne uniquement : https://docs.google.com/forms/d/1OD9_Ja53bMCmr-E2btBpM9v7VNxLiU2HZAlLU7q1PAc/viewform

Auprès de l’Association Sert-Marmottan, n° de déclaration d’activité 11 75 49568 75

Suite à votre pré-inscription, vous recevrez une convention-facture au mail que vous aurez indiqué, sous une dizaine de jours.

Attention, votre inscription ne sera effective qu’à réception de votre règlement.

Contact : reseau.laguilde@gmail.com

2. Pré-inscription tarif DPC (Développement Professionnel Continu)

Formulaire papier à télécharger, remplir et à renvoyer par courrier à l’IREMA, 10 bd de Strasbourg, 75010 Paris : Bulletin d’inscription DPC

Soutenu_par_Q1sert marmottanirema

Livret : C mon traitement (traitement hépatite C.)

hépatite c« Un traitement pour tous, une guérison pour chacun et une protection universelle ! »

SOS Hépatites vient d’éditer un livret sur les traitements contre l’Hépatite C. Vous y trouverez des informations sur ces traitements, comment les prendre, et les combinaisons.

Retrouvez-le en ligne : http://fr.slideshare.net/soshepatites/livret-c-mon-traitement

Pour plus d’informations, vous pouvez aller sur le site de SOS hépatites fédération ou appeler le numéro vert 0800 004 372

Baclofène, arrêt des TSO en Csapa, prise en charge de la douleur des patients substitués…, nouveau numéro du Flyer

flyer-54Le numéro 60 du Flyer est paru.

On peut y lire l’article du Dr Renaud De Beaurepaire et du Pr Philippe Jaury, sur leur analyse des conséquences de la RTU de baclofène et de l’impact qu’elle a pu avoir sur la prescription de ce médicament au cours des derniers mois. « La RTU est-elle en train d’assassiner le baclofène ? ». Au delà du titre de l’article, il s’agit pour les auteurs de faire des propositions constructives pour que l’entrée des patients dans la RTU soit facilitée et que cela permette l’obtention d’une AMM plus rapidement.

Vous pourrez lire également l’article écrit par deux soignantes du CSAPA de Provins sur l’arrêt des traitements de substitution opiacée.

Ainsi qu’un article des Dr. Philippe Poulain et Dr. Xavier Aknine sur la prise en charge de la douleur pour des patients recevant un Médicament de Substitution Opiacée.

Et une synthèse du Dr. Laurent Karila sur les addictions sexuelles (données épidémiologiques, formes cliniques, conséquences, approche thérapeutique et une bibliographie).